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6 CHOSES A APPRENDRE A SON CHIEN

Lorsqu’un chien rejoint notre quotidien, on reçoit toujours une foule de conseils sur ce que nous devons faire ou ne pas faire. Aussi, les recommandations fussent. Notamment, sur ce qu’il est primordial de lui apprendre… Voilà 9 ans que je partage la vie de ma boule de poils, le moment idéal pour réaliser une introspection sur ce qui me semble important. Plus précisément, les 6 choses à apprendre à son chien, humblement, selon moi !

INTROSPECTION- Convivialité – DOGMOMLIFE

Cet article fait écho à une discussion, durant laquelle un futur adoptant de mes connaissances éloignées, m’indiquait qu’avec son chiot ça serait comme ça … qu’il lui apprendrait à faire ça, et aussi ça … En gros des tricks … A côté de ça, on lui a demandé pourquoi un chien …. Bah ça tournait en boucle sur les tricks, les réseaux sociaux … Il m’a demandé, en regardant Queeny “t’as appris quoi comme tricks ?”

Quand je pense à mon chien et au pourquoi … Je pense à beaucoup d’amour et complicité. Du coup, on est des louseuses du tricks mais on a apprit tellement plus … Alors, je ne dit pas qu’on ne peut pas nouer une complicité avec ou par les tricks, ça j’en suis persuadée. A partir du moment où on donne de l’attention, de la stimulation, des apprentissages, de la bienveillance… On construit sa relation aussi sur les valeurs que je vais évoquer en travaillant les tricks. Toutefois, vouloir un chien pour faire des tricks sur TikTok … Vous voyez, le problème ?!

Il n’est pas ici question d’éducation car pour rappel, je ne suis pas éducatrice. Je ne suis que la DOGMOM de Queeny. Cette introspection n’engage d’ailleurs que moi. Toutefois, on voit tellement de choses, notamment sur l’éducation d’un chien ou le quotidien avec un chien … Qu’à mon sens, parfois, on s’éloigne de l’essentiel.

A savoir la construction progressive d’une relation authentique basée sur des valeurs primordiales. Ainsi, avec mon chien, ce sont ces valeurs initiées consciemment ou inconsciemment. Voire tantôt implicitement … Qui contribuèrent grandement à rendre possible sa bonne éducation et la fluidité de notre relation.

#1 LA CONFIANCE

Peu importe le vécu que le chien peut avoir en amont. Qu’il soit chiot, adulte ou senior… Pour moi, la clé réside dans la confiance. Elle n’est pas unilatérale. Elle est multiple …

Sa confiance en moi

Tout d’abord, la confiance que mon chien peut avoir en moi est indispensable pour notre quotidien, sa sécurité et l’harmonie de notre relation. Cependant, ne vous y trompez pas, la confiance est un bien précieux qui se gagne. Le temps, la patience et les actions le permettront. Notamment, la considération et le respect que l’on peut témoigner quotidiennement à son chien !

Votre chien n’a que faire des belles paroles, ce sont vos actes qui avant toute chose, vous caractérise à ses yeux comme étant de confiance ou non. Pour mon chien, j’ai toujours souhaité être ce “phare” qui rassure et qui accompagne dans toutes les situations.

On vous dira souvent de “laisser votre chien se débrouiller, pour qu’il apprenne, pour son autonomie”… C’est un choix, que je respect mais qui ne fut pas le mien ! J’ai toujours voulu être là pour elle, j’ai souffert de la voir démunie, inquiétée ou malmenée … Alors, j’ai été pour elle, ce que mes parents ont été pour moi. Oui, je sais, c’est un chien et pas un enfant. Toutefois, c’est mon chien et j’en suis responsable. Garante de sa sécurité, de son bien-être au sens large … Incluant donc l’aspect psychologique.

Cette confiance, malgré le suivi naturel que peut manifester un chiot, n’est pas innée pour tous. Ainsi, toutes les relations sont différentes car nous sommes différents et réagissons parfois différemment. Queeny était méfiante petite, voire, craintive.

La confiance se gagne, se pérennise et parfois se perd, puis se regagne… Nos chiens ne sont pas rancuniers ! En revanche, par associations, ils retiennent …. Ce qui peut modifier leur comportement envers nous.

Exemple qui fait mal …

Lorsque Queeny a été opérée de son kyste, conformément aux consignes vétérinaires … Il m’a fallu la laisser à l’accueil. Un moment de déchirement pour moi. L’histoire nous apprendra qu’il en fut de même pour elle. Outre les hurlements, supplications vocales qui semblaient dire “ne me laisse pas seule ici“… Une fracture dans notre osmose naquit de cette expérience traumatisante pour elle.

J’en ai pris conscience, peu de temps après. Un jour de promenade lorsqu’à la détonation d’un bruit sourd effrayant… Plutôt que de revenir vers moi pour se rassurer, comme à son habitude, elle s’est enfuie. Sans moi et sans se retourner. Aussi, par la méfiance et la réticence à monter en voiture alors qu’avant elle adorait ça ! Toujours impatiente de vivre une nouvelle aventure en grimpant … Où étais passé mon chien? Elle qui m’aurait suivi au bout du monde, les yeux fermés ?

Il a fallu du temps, j’ai ramé un minima, pour faire mes preuves et redevenir cette personne de confiance vers qui elle pouvait se tourner en cas de nécessité. Ce sont les petits gestes insignifiants du quotidien, qui progressivement, rendirent cela possible. Notons, que c’est une période difficile à vivre… Courte mais vraiment douloureuse. Notamment parce qu’il faut respecter le besoin d’espace et d’éloignement que manifeste notre chien. Lui donner le temps de revenir par lui même … Lorsqu’on avait une relation fusionnelle et très complice c’est compliqué à vivre.. On accepte, on comprend mais on en souffre. C’est d’ailleurs peut être cette fusion qui contribua a décevoir à ce point ma boule de poils et à la vivre aussi péniblement … Au point de suspendre une part de confiance !

Du coup, je considère que la confiance que nos chiens place en nous est élémentaire. “Pourquoi, tu veux que je fasse ça ? Je ne comprends pas tout mais j’ai confiance en toi, alors on y va” … Comme dans n’importe quelle relation … La confiance est ce fil invisible qui rassemble ! Ce regard que notre chien pose sur nous lorsqu’il est en confiance contribue au bien être de notre duo. Cette confiance impose également de faire preuve de bon sens, d’être responsable et de ne jamais en abuser. C’est quelque chose de précieux qui se gagne, se respecte et se mérite !

Ma confiance en ELLE

Ce qui nous blesse dans notre vie d’humain est aussi susceptible de blesser nos boules de poils dans leurs vies canines. Ainsi, lorsque l’autre ne nous fait pas confiance, la relation perd en authenticité et spontanéité. Il en va de même avec mon chien. Je considère important de lui faire confiance, sans jamais la mettre en danger, uniquement pour contribuer à la valoriser.

L’estime de soi est un besoin de nos chiens, le besoin d’utilité n’est pas à déconsidérer… Ainsi, par des petits jeux de confiance, on peut renforcer un point essentiel pour eux …. Je vois souvent des gens qui interrompe systématiquement leurs chiens, par manque de confiance, sans laisser la possibilité du choix ….

Exemple, lors d’un apéro entre voisin, les chiens étaient invités aussi. Un seul manquait à l’appel … “Il risquait de ne pas se comporter correctement”. Nous avons tous insisté pour qu’il aille le chercher, en lui donnant le bénéfice du doute, … Une chance de montrer qu’il est “digne” de confiance … Ce fut le cas, il a joué avec les autres, sans rien endommager. Un coup de chance ? La joie d’avoir pu accompagner ? L’envie d’être à nouveau invité ? Qui sait … Il avait grandi. Après tout, eux aussi, évoluent avec l’âge !

SA CONFIANCE EN ELLE

Toutes nos actions de valorisation, aussi insignifiantes soient elles contribuent à renforcer la confiance en lui chez notre chien. C’est primordial pour son épanouissement, ses interactions, sa gestion des émotions. C’est un aspect que je n’avais pas intellectualisé au départ. Cependant, au fil des années, contribuer à lui donner confiance en elle fut un vrai bonheur. Cela permet aussi de dépasser des peurs dans le quotidien.

Exemple, ne me demandez pas pourquoi mais petite Queeny avait un problème avec les ponts. Le type petit pont en bois avec de l’eau qui passe dessous. Lui donner confiance en sa capacité à surmonter cet obstacle contribua à renforcer notre relation et notre complicité.

On a eu des ratés … On en a rigolé … On a ressayé … On y est arrivée !

#2 LE DROIT A L’ERREUR

Qui n’a jamais failli … Le tout et tout de suite … peut nuire à une relation saine. Trop d’attentes, trop vite … Je suis quelqu’un qui se trompe et peut se tromper. Je me trompe de rue, je me trompe d’heure, je me trompe dans le programme de la machine à laver … Pourquoi ne pourrait-elle pas se tromper. L’erreur est souvent stigmatisée, or, l’erreur est à mon sens, un outil pédagogique. Plus, un moyen d’apprendre et progresser.

Notre chien n’est pas parfait, il réagit selon les situations ou configurations qui se présentent à lui … Parfois ce n’est pas comme on l’aurait voulu mais c’est pourtant ce qu’il a choisi de faire. N’en demandons nous pas trop à nos chiens ? J’ai toujours essayé de m’adapter, cela ne signifie pas revoir à la baisse. C’est à mon sens, considérer l’individualité de mon chien.

Exemple : Un chien peut se tromper, on lui a demandé de s’asseoir en rentrant à la maison pour nettoyer les pattes sales. Plutôt que, il a couru jouer dans le jardin, se salissant davantage …. Bon ? On fait quoi, on tire la tête ou on le rejoint jouer ? Pour moi, ça a toujours été la rejoindre jouer… Pourtant, elle est capable de s’asseoir, elle sait le faire mais elle a aussi ses envies, son libre arbitre … Alors, oui ça arrive à nos chiens de faire des erreurs. Dans c’est cas, je repense toujours à ma grand mère qui me criait “Julie pas de bonbons avant de manger” … J’avais déjà mangé la moitié… !

Ces attentes et cette quête des “réactions systématiques parfaites” mettent de la pression sur le dos de notre chien. Parfois, c’est une pression que l’on s’impose aussi. Voire, alimentée par les réseaux sociaux. Queeny fait encore des erreurs … Il m’arrive de les montrer, il m’arrive d’en parler parce qu’elles font parties de notre quotidien. Quand elle sort de l’eau en laissant sa balle se faire emporter par les vagues … Voilà, voilà, … Pourtant, elle le sait, pourtant, je lui dis toujours “Queeny ta balle ….” C’est pas la fin du monde !

Bref, s’offenser des erreurs, ça ne contribue pas à consolider la relation authentique et spontanée que l’on rêve tous de tisser avec eux. Patience, tolérance et temps … On peut progresser toute notre vie durant, il en va de même pour mon chien.

Enfin, il ne faut pas y voir un caractère personnel, le prendre pour soi, surréagir. Donner le droit à l’erreur est important à soi, comme à son chien. L’essentiel étant de rebondir sur l’erreur pour apprendre quelque chose et progresser. Toujours dans la bienveillance et la positive attitude.

#3 LE LIBRE ARBITRE

Alors, ça, c’est clairement mon obsession depuis longtemps ! Laisser le libre arbitre à mon chien. Choisir son repas, son chemin, sa promenade, ses copains, de dire bonjour ou non, … J’ai toujours adoré l’approche selon laquelle, elle a un caractère, des goûts, des envies …

De fait, il me fallait absolument lui permettre d’être elle-même. C’est de ça que naissent les talents. Notamment, que l’on réalise que notre chien est doué pour quelque chose ou au contraire, qu’il n’a pas d’affinité avec autre chose. C’est l’opposé de la contrainte, parce que personne n’aime se sentir obligé de … D’autant que laisser une place au libre arbitre de mon chien a largement contribué à la confiance que je peux avoir en elle et à son estime d’elle même. Ainsi qu’à la connaissance qu’elle peut avoir d’elle même et que je peux avoir à son sujet.

Je connais ses limites parce que j’ai laissé mon chien s’en approcher suffisamment pour me signaler où elles se trouvent. Pour cela, il est nécessaire d’être dans la confiance.

Exemple : Nos chiens doivent faire de l’exercice et se dépenser. Ok, cela fait parti de leurs besoins. Toutefois, lorsque notre chien est senior soit il se fait souffrance par amour parce qu’il a l’habitude de vous suivre et veut nous satisfaire à tout prix… Soit, il active son libre arbitre et vous fait comprendre que là, c’est trop ! C’est ce que j’ai voulu construire avec elle, un chien qui s’exprime sur ses émotions, ses limites, ses envies. Aussi, ses contrariétés !

J’avais réalisé un article, il y a fort longtemps, pour en parler “LE LIBRE ABRITRE CHEZ LE CHIEN” Il est toujours d’actualité, c’est vraiment une valeur que j’affectionne dans la relation que j’ai pu construire avec Queeny.

#4 LA LIBERTé

La liberté plus qu’un besoin, c’est un droit inhérent à l’individu. C’est être considéré comme un être à part entière et non une extension de l’autre; On ne parle pas ici, uniquement de laisser son chien en libre mais de contribuer à ce qu’il se sente libre aussi dans sa tête. Libre de ressentir et vivre toutes les valeurs déjà susmentionnées.

Libre d’accorder sa confiance, de vivre sa vie de chien, de renifler…. Voire, de grogner lorsqu’il se sent menacer pour prévenir ! Libre de faire ses choix, de changer de pièce pour se reposer… De dire, non parce qu’il n’a pas envie de jouer avec un autre chien …

Nos chiens ne sont nos choses, le respect et la considération doivent vraiment occuper une place centrale dans la relation que l’on peut nouer avec eux. Longtemps considérés comme un bien meuble, ils sont désormais reconnus comme des êtres vivants dotés d’une sensibilité. Prendre conscience de cette liberté, c’est les accepter dans leur nature profonde. Aussi, c’est important de les laisse libre de l’exprimer… cette nature, cet instinct, ces besoins !

Exemple : Je pense au chien qui fait uniquement le tour du quartier le matin et le soir sans jamais dévier du parcours, qui ne peut pas se salir, avec sa laisse de 30cm, qui ne peut pas approcher un congénère, qui se fait tirer sur le collier lorsqu’il tente de renifler un brin d’herbe … Celui qui n’est pas autorisé à approcher la patte d’une motte de terre, à qui on ne donne rien à mastiquer de peur qu’il ne s’étouffe, … Se sent-il libre ? Je ne voulais pas de ça et si j’étais un chien, cette vie ne me plairait pas ! Pire, elle me serait souffrance…

D’où, l’importance de se mettre à la place de nos chiens, parfois pour ne pas dire souvent … De les connaitre pour mieux les comprendre, … Si en prime, on peut adopter une longe ou le libre en sécurité pour vivre pleinement la liberté, c’est la cerise sur le gâteau.

#5 la pleine conscience

C’est l’action d’accorder de l’attention au moment présent. Répondre aux besoins d’activités et de stimulation mentale mais aussi, de repos et sécurité. Cela peut être instauré par des temps de plénitude. Prendre le temps de ne rien faire, de se poser en promenade, de contempler le paysage, de savourer l’instant. On stresse trop souvent nos chiens. La pleine conscience c’est aussi la laisser prendre 20 minutes pour parcourir un sentier de 6 pas parce qu’elle prend le temps de renifler les brins d’herbe et de “communier ” avec les souches en y laissant une trace de son passage…

En gros de se reconnecter à ses sensations de chien ! C’est un moment de complicité, un temps suspendu ou l’avant et l’après ne compte pas ! Loin des pensées du boulot, des téléphones, des discussions internes avec soi ou avec son chien. Lui foutre la paix et savourer le moment. C’est profitable à vous, comme à votre chien.

D’autant que cela permet de renforcer la complicité car vous êtes pleinement présent physiquement et mentalement pour lui et avec lui. Un rituel qu’on s’accorde une fois par jour avec Queeny soit au milieu de la promenade pour qu’elle ait un temps d’activité modérée en autonomie, soit à la fin pour marquer une transition douce avant le retour à l’agitation du quotidien.

#6 l’amour

Apprendre à son chien à recevoir de l’amour c’est très bien. Toutefois, certains chiens ne sont pas démonstratifs et ils ne seront peut être jamais. Soit par nature, caractère ou soit par vécu… Ainsi, il est important de le respecter et d’être à l’écoute de ses besoins et particularités. A contrario, certains, comme la mienne, sont des bisounours très démonstratifs. Attention, à ne pas amalgamer peu démonstratif et peu sensible … Finalement, c’est comme chez les humains … Un chien peut être peu démonstratif tout en étant d’une grande sensibilité et empli d’amour pour son humain.

On peut aimer profondément sans être démonstratif… Le câlin que le chien fait à son humain n’est pas la seule démonstration d’amour et d’attachement. Un regard, le simple fait de se poser à proximité dans la pièce, l’attente de votre retour, … Ce sont des preuves d’amour. Notons que c’est typiquement humain d’avoir besoin de preuves pour tout et n’importe quoi … Le cœur sait et les yeux voient …

Cependant, s’il est bien une dernière chose important à apprendre à notre chien c’est tout simplement de lui apprendre à s’aimer lui même. La prise de conscience qu’il mérite d’être aimé est importante. Notamment parce qu’elle découle grandement de la valorisation que l’on peut faire consciemment ou inconsciemment. Voire, directement ou indirectement à son chien. D’autant que c’est à notre portée à tous dans le quotidien avec un chien.

De fait, les encouragements, les félicitations, les gratifications et les compliments constituent des alliés pour contribuer à ce que nos chiens s’aiment pour ce qu’ils sont. Cela, comme ils sont. Il est important de se sentir aimé et accepté tel que l’on est, pour eux aussi ! Trop de chien par amour réprime leurs propres envies.

Un exemple tout bête, lorsque je donne une douche à Queeny, elle hésite toujours à aller se baigner sur les premiers jours. Comme si elle avait peur de se salir ou de me décevoir. C’est encore plus observable, lorsqu’il y a des copains dans l’eau. Elle court le long de l’eau, en esquivant les vagues. On perçoit son envie d’y aller mais elle se refreine en me regardant. C’est ça notre super pouvoir. Celui dont il faut faire un usage juste ! Les aimer tels qu’ils sont et s’y adapter ! Alors, oui, elle va ressortir mouillée et malgré le rinçage, son poil risque de sentir les algues … Est-ce si grave, finalement ? Non … Elle se sait aimée même quand elle sent le “bébé phoque”.

Les ravages psychologiques …

Il ne faut jamais abuser de “l’autorité naturelle” que peuvent nous conférer les sentiments de notre chien. J’entends par autorité, qu’il nous aime et cherche à nous satisfaire. De fait, bien souvent, nos chiens semblent se conditionner à faire attention pour ne pas nous déplaire ou nous contrarier. Ainsi, le poids de notre comportement dans l’estime de lui et dans l’amour de lui est important. Il y a un réel impact qui nécessite d’être précautionneux ! Notre manière de lui parler, de le regarder, de lui faire prendre conscience des choses, de le traiter de manière globale peut être une bénédiction pour l’estime de lui. Voire, un fléau si nous n’y prêtons pas attention …

L’effet inverse peut donc se produire lorsque le dénigrement et les réprimandes rythment son quotidien. Aussi, les moqueries et les rejets répétés de son humain. Tout comme l’observation d’un mode de vie plus “plaisant” chez les autres chiens peuvent susciter un mal être chez notre compagnon. L’effet … “On ne m’aime pas” … Le sentiment de ne pas être aimé est un fléau qui peut altérer la confiance, le comportement et la longévité ! D’autant que le chien ne comprend pas pourquoi !

Voilà …

Toutes ces valeurs s’entremêlent car elles sont intimement liées. Selon moi, elles contribuent grandement à ce que mon chien se sente bien dans ses pattes et dans sa vie à mes côtés. Je ne vous explique pas cela pour que vous fassiez tout pareil ou pensiez pareil… Uniquement pour que vous songiez aux fondements de la relation que vous souhaitez construire avec votre chien. Ou reconstruire d’ailleurs, car, il n’est jamais trop tard pour faire différemment ou intégrer un élément nouveau.

C’est peut être cliché, toutefois, j’essaie toujours de me remettre en questions afin de progresser à être et devenir celle que mon chien mérite d’avoir pour humaine ! On voit parfois des gens qui imposent à leur chien de “rester à sa place de chien” avec autorité … Oui, mais … C’est quoi la place du chien dans l’esprit de ces gens là ? D’où, il est important de se questionner en amont, “Quelle personne voulez vous être pour votre chien ?”

Ensuite, il vous suffit de mettre en place les moyens d’y parvenir, en vous faisant accompagner de personnes bienveillantes pour atteindre vos objectifs. Educateurs, comportementaliste, amis, …

Ce n’est pas la destination qui compte, ni de l’atteindre rapidement.. C’est le voyage en prenant le temps de savourer le cheminement … Jour après jour, pas après pas, vous construirez une relation saine avec votre boule de poils en vous donnant le temps à tous les deux d’évoluer ensemble ! Et pour vous, quelles sont les choses importantes à apprendre à son chien ?



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