Le Zoo des animaux disparus de Cazenove & Bloz; une série dont nous sommes 100% adeptes; on vous en parle au fil des tomes !

#LECRUSH BD

Sensibiliser son môme avec imagination et sagesse… Notons, accessoirement, que l’on peut aussi sensibiliser son père … !

Pour ceux qui me suivent depuis un moment… Vous savez qu’il existe un lieu, en ce bas monde… Où il faudrait me traîner de forces vives pour me faire entrer … LE ZOO… rien que la simple prononciation du mot m’ulcère; car nous parlons de ZOO, Z-O-O… Ok, une seconde ! Bref arrêt sur image… Je vous vois balayer cette phrase… Puis, le titre de l’article ! Encore, cette phrase, le titre de l’article ! Attention, vous allez perdre votre rétine là … Cependant, gymnastique oculaire, légitime, c’est déroutant, mais rassurez-vous, ni vous ni moi ne sommes schyzos… Vous allez comprendre… Pourquoi cette BD est mon total crush du moment… Malgré qu’il s’agisse de la petite vie, ni plus ni moins déconcertante, d’un ZOO…

Présentation par l’éditeur … Bamboo édition;

Le Zoo des animaux disparus, Tome 1… (petite danse … qui précise 1, sous-entend 2 … CLACLAP…) scénarisé par Christophe CAZENOVE, dessinné par BLOZ, mise en couleurs par Alexandre AMOURIQ, Sylvie BONINO, MIRABELLE. Paru le 03 Juin 2020; il s’agit d’une bande dessinée de 48 pages (planches). ISBN 978-2-81897-630-2

“Le seul endroit où découvrir des animaux jamais vu ou qu’on ne verra malheureusement plus. Déborah, stagiaire vétérinaire qui rêve de travailler dans un zoo, se voit affecter dans un parc zoologique très particulier, car il ne présente aux visiteurs que des animaux éteints depuis des siècles, quelques décennies ou même quelques mois. Pas évident de savoir quel vaccin faire à un dodo, comment nourrir un éléphant de Sicile ou si cet oiseau tahitien, l’O’u, est en pleine forme ou pas…” Source

Une approche judicieuse…. Pour petits, et grands…

Qualifiée de “tout public“, et ce, dés 6 ans, cette bande dessinée, s’inscrit dans la lignée pédagogique d’une didactique pour le moins humoristique;

Le process inclusif, plonge l’enfant dans un univers contemporain et familier; pas de voyage dans le temps, nous sommes à son époque; une époque familière et propice à la postposition et au rapprochement avec les espèces qu’il connaît déjà, côtoie ou dont il a conscience de la menace de disparition, par la médiatisation ou la sensibilisation effectuée en amont dans sa sphère sociale voire familiale;

En ce sens, je considère, que soulever “le pourquoi du comment” de l’arrivée dans ce zoo d’animaux disparus, il y a “fort fort longtemps… et lointainement” n’est qu’accessoire; c’est un choix judicieux des créateurs. L’enfant, n’appréhende pas le monde conformément à notre logique formelle, et cartésienne, il se pose beaucoup de questions, au quotidien, sa curiosité “dévorante” est largement rassasiée par le contenu informatif, très riche sur ces espèces disparues.

Des personnages;

Déborah est le personnage auquel l’enfant, qui découvre le contenu, peut aisément s’identifier, et rêver “d’être à sa place”, de découvrir cette multiplicité d’espèces disparues; Exemple, le DODO, de vous à moi, le DODO, c’était mon rêve de môme … Du coup, l’adulte que je suis, et l’enfant en sommeil qui persiste à m’habiter ont adoré cette bande dessinée.

Une mise en scène qui implique une réflexion, petit d’homme, doit mobiliser sa compréhension de l’implicite, afin de tirer ses propres conclusions; exemple pour les petits Bilbis, qui ne boivent pas, mais “s’abreuvent” par les fruits et graines, on peut imaginer que la cause de disparition de leur espèce est liée à la raréfaction de ressources, comme évoqué, par les canicules…

Pour d’autres espèces, il est évoqué des massacres, et l’action humaine, de consommation, surexploitation des ressources, un bouleversement de l’habitat naturel, etc … d’où, petit d’homme pourra tirer ses propres conclusions; ainsi, une réflexion collective pourra être menée avec lui; le renvoyant à la lutte écologique actuelle, et à la nécessité de devenir “acteur” de ce demain qui lui appartient.

Un contenu fictionnel, certes, mais documenté, même si le fait qu’il s’agisse d’espèces disparues n’a certainement pas facilité le travail des créateurs; ainsi, Christophe Cazenove déclare dans une interview, avoir cherché des informations dans l’espace dédié aux animaux disparus de la grande galerie de l’évolution au jardin des plantes de Paris.

Une BD qui colle à l’idéologie de préservation…

sans taper trop fort..

Ce type de bande dessiné permet à l’enfant de découvrir, de s’informer, mais surtout, de réfléchir en reliant le contenu à la problématique actuelle d’extinction des espèces. Il ne s’agit pas d’un militantisme exacerbé, il peut davantage être qualifié de subtil et responsabilisant;

L’enfant tirera ses propres conclusions; cet ouvrage plante la graine, qu’il vous reviendra, à vous, et petit d’homme de faire germer. Comme le sujet reste cependant grave, l’humour, comme porte d’entrée, est vraiment une démarche des plus adaptée; les enfants ont une sensibilité parfois démesurée, cette approche, douce, drôle mais formatrice permettra d’introduire la sensibilisation aux vivants dans son quotidien sans fatalisme oppressant.

Gros plus : Un cahier pédagogique en partenariat avec l’AFDPZ est inclus en fin d’ouvrage; il s’agit d’un excellent complément de 6 pages, qui abordent les principales causes d’extinction des espèces et qui permettra à petit d’homme de valider ses hypothèses de lecture, de compléter sa réflexion initiale, ou d’approfondir ses connaissances.

Un aperçu en images?

©Cazenove&Bloz Bamboo édition 2020

Niveau dessin;

Si je me réfère aux gravures et documentations anciennes, le rendu semble très réaliste; dynamique, expressif, conforme à la bonne compréhension des scènes par l’enfant ! Perso, ça fait écho à mon enfance; un papa collectionneur BD, des figurines et des lithos partout, ce fut un agréable moment “voyage dans le temps”, l’adepte de la cause animale en ressort satisfaite, voilà donc un zoo, où j’ai aimé mettre le nez ! Notons, les personnages qui composent ce premier Tome, sont nombreux, et proposent un panel de personnalités agréables;

Mon avis ?

Une excellente initiative qui allie judicieusement imaginaire et réalisme; un passé à la rencontre d’un présent, qui répond à une nécessité d’instruction, un univers qui se passe aisément de sur-légitimité en son essence; une échappée instructive et cependant, magique pour l’enfant et l’adolescent voire l’adulescent (prise la main dans le … book). La sensibilisation, la distraction, l’imaginaire, le rêve, la possibilité de mener sa propre enquête, de suivre ses pistes; tant d’ouvertures, qui me poussent à vous recommander vivement cette BD dont j’attends impatiemment le second tome ! Pour éviter que cette liste d’animaux disparus ne s’allonge, l’enfant d’aujourd’hui, incarnera le sage de demain… il peut donc être plus que judicieux de lui placer ce contenu entre les mains !

Où acheter ? La BD est vendue 10.95 euros au format papier, et 6.99 euros au format Ebook sur les sites Fnac, Amazon, Librairies dialogues, BDFugue, Momie Librairie, Décitre, mais aussi, dans les boutiques spécialisées, et chez vos libraires de proximité, sur commande.

Bonus : Pour la version numérique GooglePlay

Le second tome du Zoo des animaux disparu est paru, aux éditions Bamboo, le 5 mai 2021 ; toujours la même équipe aux commandes ; scénarisé par Cazenove et dessiné par Bloz ; un duo qu’on apprécie pour la pédagogie des contenus ;

Alors, ce tome 2 est-il à la hauteur du premier ?

Retour sur impressions … Pour le premier tome les deux acolytes avaient placé la barre très haute. Le concept d’animaux disparus est non seulement novateur mais également formateur. Voire, sensibilisateur. D’ailleurs, l’humaine était conquise !

Pour ce second tome … On peut clairement affirmer qu’ils réitèrent la performance. Fidélisant les lecteurs convaincus et séduisant les nouveaux arrivants. Notamment, par de nouvelles thématiques parfaitement reliées aux préoccupations actuelles. A savoir, la préservation des espèces qui sont traitées avec humour et bon sens ;

Gros plus 

Des encadrés informatifs sont inclus en bas de planche. Cela, afin d’expliquer la disparition de l’espèce narrée. Un contenu informatif, pertinemment structuré, comme suit …

Année d’extinction, causes de l’extinction, particularités, espèce cousine encore vivante, répartition géographique ; sans oublier le planisphère de localisation qui permet aux plus jeunes de parfaire leurs connaissances en géographie mondiale.

Ainsi, dans ce second tome, on retrouve Déborah et son équipe. Ainsi, on comprend que le Dodo est une star incontestable. Ce qui lui confère quelques privilèges ! On s’offusque avec les Quaggas du manque d’estime accordé à leur statut. Notamment, quantitativement proportionnel à leurs rayures, on en viendrait presque à bouder le zèbre par solidarité. On idolâtre le Bubale malgré sa condescendance pour notre espèce. Surtout, on comprend toute la complexité du mécanisme de réintroduction des espèces dans leur milieu naturel.

Bonus

Un nouveau cahier pédagogique est inclus dans ce second thème ; réalisé en partenariat avec l’AFDPZ ; qui aborde la protection des espèces en danger, la sauvegarde d’espèces dites « éteintes » dans la nature mais sauvegardées dans des parcs zoologiques ; et la difficile réintroduction des espèces, information qui permet de comprendre que la réintroduction est un processus long, risqué et couteux ; d’ailleurs, toutes les tentatives ne se sont pas soldées par la réussite, malheureusement ! Une ouverture qui permet d’aborder le rôle du parcs zoologiques selon un autre aspect, et qui favorise, notamment, la distinction avec le « Zoo » traditionnel, fustigé, à raison, par l’opinion publique depuis que l’animal est considéré dans sa sensibilité et qu’une perspective de droit naturel lui est enfin attribué par une majorité de personnes sensibilisées à cette réalité.  

©Cazenove&Bloz Bamboo édition 2021

Mon avis ?

Le second tome est à la hauteur du premier ; je peux même affirmer que je le préfère ; les encadrés permettent de contextualiser mais également de relier à l’histoire et à l’évolution de nos sociétés dans ses us et coutumes ; je trouve cette approche très intéressante pour un enfant, un adolescent et même un adulte ; preuve étant, j’ai lu et relu ce second tome d’une traite ; en adepte inconditionnelle, bien évidemment, je me suis attardée sur le DODO !!!

Cette BD est véritablement à placer dans la catégorie « outil » éducatif et pédagogique ; elle permet d’introduire des valeurs fortes ; écologiques, humanistes, universelles ; elle favorise également le dialogue dans la sphère familiale ; enfin, elle peut constituer une porte d’entrée à des recherches ultérieures, à un approfondissement des concepts abordés.

Aussi, il est parfaitement envisageable qu’elle puisse donner libre cours à des réalisations ou même servir de pierre angulaire à un exposé scolaire.

Une Bd, des messages;

Enfin, aux parents qui « résistent » quant à la perspective d’emmener leur progéniture au cirque ou dans les zoos traditionnels.

cette BD peut justement permettre d’ouvrir le dialogue, d’informer, d’expliquer et de favoriser l’adhésion des enfants à une prise de position légitime empreinte d’empathie pour le vivant ; notamment, par une attention particulière accordée aux encadrés informatifs ; l’homme ayant une responsabilité majeure dans ces disparitions.

Cela favorisera également d’introduire le réchauffement climatique, l’étalement urbain, et bien d’autres problématiques engendrées par l’activité humaine qui contribuent à faire planer une menace sur de nombreuses espèces actuellement ; les enfants d’aujourd’hui étant les adultes de demain, il est important qu’ils prennent conscience qu’ils ont un rôle à jouer dans ce devenir.

Plaidoyer pour la BD?

Qui plus est, soyons clairs ; la BD, n’est pas un sous-produit littéraire ; c’est un art à par entière qui associe signifié et signifiant ; qui contribue à développer l’imaginaire de l’enfant et à l’initier à des lectures plus longues par la suite ; suscite sa curiosité, aiguise son esprit critique, lorsque celle-ci est porteuse de sens, comme c’est le cas avec « Le zoo des animaux disparus ».

Elle peut également être une approche d’ouverture à une multitude de disciplines ; géographie, sociologie, histoire, philosophie, sciences ; enfin, il nous faut évoquer les valeurs liées à l’empathie, le respect, la considération du vivant amenées par ces présentations ; un contenu informatif subtilement distillé entre deux tranches d’humour ; qui permet à l’enfant de passer un agréable moment tout en apprenant ; le propre même de la compétence liée à la capacité de réflexion attendue lors de son développement vers le monde qui l’entoure.  

SHOPPING ?

La BD de 48 pages est vendue 10.95 euros sur le site officiel de la maison d’édition Bamboo, mais aussi, sur FNAC / DECITRE / BDFUGUE  et bien évidemment, dans vos librairies de proximité, sur simple commande.

Présentation de l’éditeur

Le seul endroit où découvrir des animaux jamais vu ou qu’on ne verra malheureusement plus.

Dans ce parc zoologique qui ne présente que des animaux éteints depuis des siècles, quelques décennies ou même quelques mois, de nouvelles espèces font leur entrée.

Parmi elle, l’ours de Californie (l’emblème de cet État : ça valait bien la peine de l’exterminer, pas vrai ?), et le paresseux marcheur de Jefferson… parti il y a plus de 10 000 ans !

Les animaux très menacés dans leur milieu naturel, comme le Tenkile, un marsupial vraiment trognon, ou le tatou géant, y ont trouvé refuge. Et on y attend même les cinq dernières espèces de rhinocéros encore en vie…

Inclus : un cahier en partenariat avec l’Association Française des Parcs Zoologiques (AFdPZ)

Un aperçu, en images !

©Cazenove&Bloz Bamboo édition 2022

Décortiquons?!

Tout d’abord, il faut savoir; que je suis joie ! De retrouver un nouveau tome car elle se positionne au palmarès de mes 5 séries BD préférées. Ce qui est une très bonne place, au regard du nombre de séries qui peuplent ma bibliothèque ! Un tome par an, équivaut à une visite au zoo annuelle pour moi qui n’y mets jamais les pieds ! Avec ce troisième tome, on continue de “voyager” !

Sensibilisation;

D’emblée, on introduit avec une espère disparue par la première planche “Thylacine en live”; qui fait écho à la seconde “la gazelle Dama” une espèce en danger critique d’extinction; essentiellement à cause de la chasse. Cette subtilité de mise en relation pour le lecteur est très pertinente. On s’émeut pour les espèces disparues; comme le visiteurs du zoo des animaux disparus face au; mais à quel moment on se mobilise pour ceux qui risquent bien le rejoindre?! C’est donc un bel appel du pied des auteurs. Ainsi, n’attendez pas qu’il soit trop tard ! Cette entrée en matière donne le ton, et c’est un choix très judicieux !

DU CONTENU INFORMATIF;

Ravie de constater que l’on retrouve les petits encadrés informatifs.

Année d’extinction ou état de l’espèce, autres noms, causes de la menace ou de l’extinction, répartition géographique, particularités, espèces cousines.

Toujours aussi enrichissants ! Des espèces alternées au fil des planches. Notamment, entre les espèces en danger et les espèces disparues. En ce sens, je trouve que ce troisième tome prend une dimension encore plus préventive et sensibilisante.

Exemple: Le puma de l’est Amérique, disparu le 22 janvier 2018; on ne peut pas dire, c’est la faute à nos ancêtres ! On sait que des espèces sont menacées mais sans cet apport, on ne percevrait pas concrètement l’ampleur de la et la proxémie temporelle de cette réalité. D’où, je maintiens que toutes les bibliothèques scolaires devraient être équipées de cette série d’album !

Car demain, c’est nous mais surtout, eux, les petits d’hommes qui devront réparer toutes nos conneries; autant les y préparer le plus tôt possibles !

Des surprises dans ce troisième tome !

J’étais plongée dans ma lecture, lorsqu’au abord d’une page, la 32 pour être précise, SURPRISE… Bill était en visite au Zoo, j’étais joie au départ, je suis gratitude; Boule et bill c’est tout mon enfance; le clin d’œil “visite dogfriendly” dans un lieu culturel, je valide à 200% !

On notera que DODO, est de retour; ok, on ne peut pas le mettre à chaque tome, il faut que je me prépare psychologiquement pour les suiavnts; mais vous en conviendrez, le DODO c’est le plus fun des gros Zozios ! Contente de le retrouver dans ce troisième tome; après tout, c’est la STAR du zoo !

Bonne surprise également de retrouver dans ce nouveau volet, des aquatiques; telle le dauphin d’eau douce;, en espérant qu’un jour nous n’y verrons pas le requin, bien qu’il soit lui aussi, malmené par l’homme.

Un dossier pédagogique sur le pourquoi !

Je ne suis pas la dernière à mâcher mes mots sur les zoos; mais ce dossier place en lumière l’intérêt des parcs zoologiques, à ne pas confondre. Car contrairement au zoo, ils présentent un réel intérêt quant à la préservation de certains espèces; ainsi que les modalités d’accueil des pensionnaires; il place aussi en lumière la reproduction qui pérennise les espèces menacées.

MON AVIS ?

C’est quand qu’il sort le tome 4 ??? Y aura un DODO ?? Bref, blague mise à part; je valide complètement cette série, pour moi c’est de loin, la BD qui présente le plus grand intérêt pédagogique en matière de préservation et de sensibilisation du grand public à la cause animale dite “sauvage”. Cette BD permet, avec humour d’aborder des sujets graves, d’alarmer sur le risque de voir d’autres espèces qui disparaîtraient dans un futur plus que proche;

Lire ce n’est pas que se divertir, s’évader ou s’instruire; la lecture permet d’éveiller les consciences, de sensibiliser, de façonner la faculté à intellectualiser des thématiques multiples parfois lourdes à digérer. Le tome 3 est fidèle à cette démarche; toujours aussi enrichissant, réflexif et pertinent au regard des menaces écologiques et humaines qui planent toujours sur ces trop nombreuses espèces.

Eduquer les enfants à devenir des adultes responsables, ce n’est pas que la notion d’argent, dire bonjour, bonsoir ou merci; c’est aussi, leur apprendre que nous devons cohabiter harmonieusement avec le vivant qui nous entoure , dans un environnement partagé, qu’il nous faut préserver. Cette BD est le support idéal afin d’y parvenir dans la bienveillance. Au passage, cette BD, s’adresse aussi aux grands enfants que nous sommes; une série pour toute la famille !

La BD de 48 pages est vendue 10.95 euros sur le site officiel de la maison d’édition Bamboo, mais aussi, sur FNAC / DECITRE / BDFUGUE  et bien évidemment, dans vos librairies de proximité, sur simple commande. Bonus, en version ebook, elle est vendue 6.99 euros.

Les liens utiles : Bamboo édition le site officiel / Le Facebook / L’Instagram / Le twitter / La chaîne Youtube / Biographie de Christophe Cazenove et une interview spéciale confinement / Biographie de Bloz.

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