Dogmom actually Le "Comment" pour mon chien ... Lifestyle/ Inspiration

Le congénère pour le chien

Le congénère pour le chien ou l’importance d’avoir un ami pour un chien !

#FriendsAddicts

Bien dans ses pattes par et avec les autres !

Imaginez vous, juste une seconde, propulsés dans un pays étranger, dont vous ne parlez pas la langue, dont vous ignorez les us et coutumes; De quoi rêvez-vous ? De rentrer chez vous… de croiser quelqu’un comme vous; qui parlera votre langue, qui vous comprendra, ou encore, d’apprendre rapidement pour vous intégrer…

Je pense que c’est plus ou moins ce que ressentent nos boules de poils au quotidien, ils vivent une immersion continue dans l’univers humain; avec le temps, ils apprennent à nous décoder, nous comprendre, selon les situations avec plus ou moins de complications… Nous, les humains, supposons bien plus souvent, lorsqu’il s’agit de les comprendre… Nous leur proposons de jouer à notre manière, de communiquer avec nos codes, de vivre selon nos us et coutumes; … Cependant, malgré l’effort d’adaptabilité, que ces pratiques impliquent, pour eux, ils se prêtent volontiers au jeu, par amour de nous.

ETRE SOI

On est complètement soi-même que lorsque nous nous trouvons en confiance, avec nous-même et avec les autres; lorsque nous n’avons pas peur du jugement ou d’une réaction de désapprobation;

Forte de cette certitude, légitimement, me sont venues les questions suivantes; Comment permettre à Queeny d’évoluer en étant pleinement elle-même dans cet univers qui lui est propre par nature, mais que je suis incapable d’intégrer pleinement ? Comment reproduire l’environnement de communication dans lequel elle pourrait se sentir pleinement libre d’agir et réagir, en adéquation avec ses propres codes ?

La solution était finalement simple, en la laissant évoluer parmi ses congénères… En lui permettant de côtoyer des êtres semblables, mêmes s’ils ne sont pas similaires; mais qui cependant, partagent des codes de communication, des aspirations, des habitudes, des jeux en commun.

Cette prise de position n’engage que moi mais j’ai la ferme conviction que ma boule de poils a besoin d’avoir des amis, de fréquenter cet univers canin, sans que je n’interfère dans ses interactions.

Mon chien, cet être sociable … Le congénère pour le chien !

Lorsqu’elle était petite, déjà, elle était très attirée par les autres quadrupèdes, par définition, si poilu a été sociabilisé, soit dès son plus jeune âge, soit ultérieurement avec un suivi comportemental, c’est le cas; Cependant, pour les boules de poils comme pour les humains, il y a le facteur “affinité”, votre boule de poils a beau être “cool”, il peut arriver que le courant ne passe pas avec l’un ou l’autre de ses congénères; d’où l’importance de bien connaître son chien; cette connaissance passant par l’observation quotidienne, et par la maîtrise de ce que l’on appelle, les signaux d’apaisement; Des indicateurs corporels qui vous permettront d’anticiper ses réactions car ils reflètent son inconfort dans l’une ou l’autre situation.

J’ai pu constater, durant mes promenades, que bien souvent, le frein premier à l’interaction d’une boule de poils avec les autres, c’est l’humain qui se trouve au bout de la laisse. Il ramène son chien à proximité de lui, à l’approche d’un congénère, afin d’éviter qu’ils n’entrent en interaction… J’ai souvent cherché à comprendre pourquoi l’humain avait cette attitude, et pourquoi, en certains cas, j’avais cette attitude…

Les raisons possibles sont multiples :

La peur, que l’autre chien ou votre chien ne se montre agressif, soit parce qu’il y a des antécédents, une mauvaise expérience passée, soit parce que vous le surprotégez. Un autre élément, étant, lié à des possibles problèmes comportementaux, ou à un dispositif d’éducation en cours d’acquisition, une mauvaise expérience pourrait mettre à mal le travail effectué par votre duo, et c’est légitime de vouloir préserver l’harmonie que vous œuvrez, durement, à pouvoir instaurer.

En d’autres circonstances, on peut évoquer, le manque de confiance en votre compagnon; en ce cas, cela revient à évoquer la problématique d’éducation, initiale… Notons, que certains chiens, sont comme des poissons dans l’eau, en évoluant exclusivement dans l’univers humain, au point tel, qu’ils ne semblent, plus ou très peu, intéressés par les interactions avec les autres quadrupèdes.

Cela peut se justifier s’ils n’en côtoient que rarement voire jamais, ils ont perdu l’intérêt et/ ou l’habitude d’interagir avec eux.

Comment savoir si un congénère deviendra un copain, la bienséance?

Lorsque nous nous promenons avec Queeny, elle est en libre dans les lieux qui ne présentent aucuns risques pour elle, et surtout, dans lesquels elle n’est susceptible de déranger personne. De fait, lorsque nous croisons un autre chien, par respect, je la rattache, en attendant de voir les réactions des deux au moment de se croiser; Il est arrivé que les deux semblaient avoir l’envie de se saluer ou de jouer, comme il est également arrivé que l’un des deux ne prête aucune attention à l’autre, ou encore, que l’un d’eux montre des signes d’hostilité … En ce sens, rattacher son chien à la vue d’un autre, est une réaction saine, et surtout respectueuse des autres; La laisse est un moyen de protéger et de se montrer responsable envers son chien, mais aussi, envers les autres.

Du coup, le meilleur moyen de savoir, c’est d’échanger avec l’humain à l’autre bout de la laisse, mais en gardant toujours à l’esprit, qu’un chien en théorie “cool” ne le sera pas forcément à cet instant “T” avec votre boule de poils… D’où l’observation constitue un excellent indicateur. Je suis en mesure d’affirmer que, oui, Queeny est cool, mais … pas avec tous les chiens; De fait, je me montre très vigilante lorsque nous croisons des chiens à nez plats, petits ou grands, d’ailleurs. Effectivement, en respirant ils font des petits bruits, qu’elle semble considérer comme une provocation, il lui est donc arrivé de se montrer hostile envers eux, jamais au point de mordre, mais suffisamment, au point d’envoyer des signaux clairs d’avertissement … qui semblaient dire, sans appel, “ne m’approche pas” !

Comment savoir que notre boule de poils est hostile ?

On pense souvent que le seul moyen de manifester son hostilité c’est le grognement, mais bien souvent, lorsque poilu en vient au grognement, c’est déjà quasi trop tard, ce qui suit rapidement, c’est la version canine des dents de la mer…, du moins, pour Queeny !

Les moyens de manifester un inconfort sont multiples, certains sont d’ailleurs communs à ceux des humains : Détourner le regard, comme pour indiquer qu’on est mal à l’aise ou qu’on se sent acculé, se lécher la truffe plusieurs fois ou de plus en plus rapidement, signe avant-coureur d’un mauvais jeu de dents à venir, enfin, le bâillement, qui peut signifier que la lassitude ou l’agacement monte pour votre compagnon.

En revanche, si vous avez l’impression que votre boule de poils cligne des yeux, cela peut vouloir indiquer qu’il cherche à détourner le regard, ou du moins à ne pas entrer dans un rapport de force, par le regard afin de ne pas sembler être une menace pour le congénère.

Le congénère pour le chien … Pourquoi, tu veux pas …?

L’hostilité peut survenir lorsque poilu croise un type de chien qu’il considère comme ayant déjà été hostile envers lui, rappel d’une mauvaise expérience, mais aussi, lorsqu’il n’est pas bien dans ses pattes; par exemple, en convalescence, lorsqu’il est malade, en vieillissant, il n’a pas forcément envie d’interagir avec les autres.

D’autres sont hostiles dès qu’un autre chien approche de leur humain, ils apprécient de jouer avec eux, mais ne tolère pas qu’un congénère s’approprie l’humain, même le temps d’un bonjour… Lorsque poilu se montre hostile pour cette dernière raison, liée à la possessivité, il s’agit de protection de ressources; et celle-ci peut se manifester pour vous, mais aussi, pour une gamelle, une friandise ou encore, un jouet.

Poilu veut protéger et garder ce qu’il considère comme étant à lui, c’est une question d’instinct, c’est naturel, mais parfois cela peut jeter un froid dans les amitiés, c’est pourquoi, lorsque nous croisons des copains potentiels à la plage, je range la balle de Queeny; elle est d’accord de prêter ses jouets aux copains, mais le nouvel arrivant, n’est pas encore un copain, par sécurité, il est préférable de se montrer vigilant.

De l’aide

Pour régler ce type de problématiques comportementales, il ne faut pas hésiter à recourir à l’intervention d’un professionnel de l’éducation, bien souvent, il propose des formules de cours d’abord individuel et ensuite, collectif afin que votre boule de poils renoue progressivement avec ses congénères.

Petit conseil … Le congénère pour le chien:

Il existe aussi des groupes de promenades collectives, avant d’envisager d’y participer avec votre boule de poils, procédez d’abord à votre examen de “conscience”, et ce, en toute objectivité et lucidité, si votre chien n’est que partiellement cool, échangez avec les membres du groupe, avant de vous présenter à la promenade, soyez francs et honnêtes; Parfois, ils peuvent s’avérer d’une aide précieuse, ou carrément être professionnels, et ainsi, proposer un dispositif qui permettra à votre boule de poils de participer en interagissant progressivement avec les autres, afin de gagner progressivement en confiance.

Un copain pour ma boule de poils, mais lequel ?

Au même titre que pour les petits d’hommes, vous ne choisirez pas les copains de votre boule de poils; Ils se choisiront mutuellement, certaines rencontres “Match” et débouchent sur de belles amitiés et d’autres se finalisent sur un profond désintérêt, aussi balayez les clichés…

Ce n’est pas parce que deux chiens sont du même sexe qu’ils vont se battre, ce n’est pas parce qu’ils sont de sexes opposés qu’ils vont tenter de s’accoupler à chaque instant; ce n’est pas parce qu’ils sont de tailles différentes qu’ils vont se faire malmener ou malmener, ce n’est pas parce qu’ils sont de mêmes races, qu’ils vont forcément s’entendre ou se plaire …

Je considère que comme pour les humains, ma boule de poils est en droit de choisir ses copains selon les affinités communes qu’ils sont susceptibles de partager. Je reste donc ouverte à toutes les amitiés qu’elle se choisit… Petit, grand, femelle, mâle, jeune, vieux, …

Votre chien choisira ses copains, et il faudra vous adapter à ses choix, même si l’humain du copain n’est pas votre choix premier… Après, ne dit-on pas “tel maître, tel chien”, bien souvent nous avons beaucoup de choses en commun avec nos compagnons, Queeny choisit très bien ses copains, et les copains ont souvent des humains au top ! Cela étant, ne privez pas votre chien d’un copain, sur ce simple critère “humain”, comme pour les petits d’hommes, faîtes des concessions, les poilus n’y peuvent rien.

Le congénère pour le chien… Notre plus belle rencontre amicale;

Le meilleur copain de ma boule de poils;

Retour sur expérience…

Lorsque la rencontre ne se fait pas au hasard d’une promenade, ou en lien avec les congénères résidant dans votre quartier, bien souvent, elle naît de l’initiative humaine. Il peut s’agir du poilu des amis de vos humains, en ce cas, vous les côtoyer régulièrement; ils viennent chez vous, vous allez chez eux, l’un de vous a été le petit dernier de la troupe, ou le nouvel arrivé, ce type de copain fait partie intégrante du décor de votre existence. Notons, que ce n’est pas parce que vos humains sont amis, que cela suit niveau poilu… Il est donc important d’accepter le refus d’amitié que pourrait manifester votre boule de poils.

Il y a aussi, les rencontres virtuelles

Nous vivons de plus en plus connectés, nous échangeons avec des personnes que nous ne connaissons pas, et au hasard de ces échanges parfois, une opportunité de se rencontrer réellement se présente. C’est ce qui se passa pour Queeny et son copain Nadgee; la maman de Nadgee et moi échangions occasionnellement sur Instagram, lorsqu’elle a publié une photo d’un lieu se trouvant à proximité de chez nous, j’ai d’abord pensé qu’ils y passaient des vacances; surprise, en fait, ils venaient d’y emménager. D’une pierre deux coups, nous avons convenu de faire une rencontre, promenade avec nos boules de poils…

Première rencontre

Un lieu neutre, ni chez eux, ni chez nous, la plage… Ils se sont reniflés, observés, les choses se sont bien passées; cependant, Queeny, vue de l’extérieur, semblait ne manifester que peu d’intérêt pour ce nouveau copain; La vérité, c’est que Miss paupiette est timide, elle était intimidée par le nouveau copain; Au fil des rencontres, j’ai pu observer que le lien commençait vraiment à s’installer, petit à petit, elle a gagné en confiance, s’est rapprochée, et désormais la simple prononciation du nom “NADGEE” la rend hystérique, elle pleure, elle cherche, elle appelle son ami…

Nadgee, l’Australien qui balaie les clichés

Monsieur, mâle entier, est un véritable gentleman avec sa copine, il la respecte et a compris en moins de 30 minutes que son popotin n’était pas une zone d’exploration; Il est doux, prévenant, attentif à elle; C’est vraiment l’ami dont toute Dogsmom rêve pour sa boule de poils.

Pour découvrir Nadgee et son quotidien c’est par ICI

Une amitié authentique

Ils sont futés, ils savent que nous avons toutes les deux une réserve à friandises pour les promenades, aucune rivalité, c’est ensemble, qu’ils passent de l’une à l’autre Dogsmom pour multiplier la récolte collective … Ils appliquent également ce processus stratégique pour les caresses, surtout Queeny, qui initialement est de nature timide, mais qui a progressivement adopté l’humaine de Nadgee;

C’est agréable de constater que ma boule de poils donne des câlins à quelqu’un d’autre que moi, ça montre qu’elle est équilibrée, et en confiance.

C’est aussi rassurant pour moi, lorsque nous effectuons des promenades en forêt, je suis en confiance, je sais que Queeny écoute l’humaine de Nadgee, qu’elle reviendrait vers elle si une menace devait surgir, et je sais aussi, que cette humaine prendrait soin de ma boule de poils comme s’il s’agissait de la sienne; comme je le ferais pour Nadgee, c’est une amitié canine mais aussi humaine que nous avons eu la chance de trouver !

Le congénère pour le chien

Qu’est-ce qu’un copain apporte à mon chien?

Les 5 incontournables….

Des valeurs

Telles que le sens du partage et la patience; partager la réserve à friandises, attendre son tour pour recevoir la sienne, ce sont des valeurs liées à la générosité qui s’acquièrent en acceptant de ne plus être seul sur le coup; prêter sa balle pour que l’autre puisse s’amuser également, et au passage, prêter son humaine pour la lancer.

La confiance en soi

Le fait d’avoir un ami permet de gagner en assurance et en confiance, c’est plus rassurant d’avancer lorsqu’on est deux, dans un nouvel endroit; pour traverser un point d’eau en marchant sur une passerelle. Queeny a toujours eu peur de le faire, avec Nadgee, son humaine et moi, elle était encouragée et soutenue; ce qui renforce aussi sa confiance en l’humain et en ses congénères, contribuant ainsi, à une pleine sociabilité; elle est bien dans ses pattes avec et par le contact à l’autre.

Apprendre à faire de nouvelles choses

Comme Queeny a contribué à l’apprentissage du jeu de balle pour Nadgee, qui quant à lui contribua à lui apprendre comment escalader, grimper, traverser des planches en bois, se jeter dans le lac sans crainte; Un ami ça permet de découvrir et d’apprendre, c’est un enrichissement et un partage naturel.

Le bonheur d’un moment partagé

C’est quelque chose qui n’a pas de prix, la joie qu’elle manifeste à chaque fois qu’elle le voit arriver au loin, lorsque nous avons rendez-vous pour une virée à l’aventure; la voir sauter de joie sur la Dogsmom de Nadgee, les voir partir ensemble, courir, se suivre, se montrer des trouvailles. Une amitié se construit dans le temps, plus ils se voient plus on peut déceler la complicité et l’attachement qui les unit;

Le sentiment d’être compris

L’essentiel, cette satisfaction recherchée, la possibilité de lui offrir un univers à elle, dans lequel, elle évolue en ayant la possibilité de pratiquer son langage et d’appliquer ses codes, avec un ami qui est en capacité de la comprendre mieux que je ne le pourrais jamais.

Le congénère pour le chien – Le bilan :

Après plusieurs mois, plusieurs virées à l’aventure, notre confrérie de la truffe est sans conteste la plus jolie chose qu’internet nous a apporté; On dit que les amis, c’est la famille que l’on se choisit, je suis heureuse que Queeny soit entourée de Nadgee et de son humaine, qu’elle ait la chance de côtoyer des personnes qui partagent nos valeurs, notre amour des boules de poils: Elle s’épanouit dans ces échanges avec eux;

Alors si vous avez l’opportunité d’offrir cela à votre boule de poils, surtout, n’hésitez pas, si vous n’avez pas de congénères à proximité, renseignez-vous, dans des groupes de promenades collectives, sur internet, dans les forums, il y a peut-être un ami prédisposé qui n’attend que de rencontrer votre poilu, quelque part. Il existe également des applications de promenades collectives, qui peuvent vous aider à favoriser les rencontres pour votre boule de poils.

Un ami, c’est important

Cela favorisera l’épanouissement mais ça permettra aussi à votre boule de poils de ne pas s’encroûter, de bouger, d’explorer, de s’amuser; Cela contribuera donc à sa longévité… Bien dans ses pattes par et avec les autres, ce n’est pas si compliqué !

Le congénère pour le chien

Conseils en vrac pour les rencontres;

Même si vous ne choisirez pas ses amis, vous pouvez effectuer une présélection, de fait, soyez attentif aux antécédents, dans les deux sens d’ailleurs;

Assurez-vous de maîtriser les signaux et la compréhension de votre boule de poils, afin de pouvoir intervenir avant l’incident diplomatique.

Aussi, il est recommandé de choisir un lieu neutre, mais aussi, un lieu qui présente de l’intérêt et de l’espace pour pouvoir se mouvoir ou encore détourner l’attention, s’ignorer un temps, s’observer de loin, pour enfin, se rapprocher; Choisissez donc une lieu sympa à découvrir ou explorer, mais malgré tout sécurisé !

Le début

Au début de la rencontre, évitez la laisse, privilégiez une longe qui permettra à poilu de s’éloigner si nécessaire, mais qui vous permettra malgré tout à vous, de le rapprocher en cas de nécessité.

Ne forcez pas le destin, même si vous adorez la boule de poils ou l’humain, n’imposez rien à votre poilu, si le courant ne passe pas, respectez son choix.

Il n’est pas nécessaire de faire une première rencontre de trois heures, parfois, plusieurs petites rencontres sont préférables, adaptez-vous à vos boules de poils. S’ils s’amusent dès la première rencontre, c’est encore mieux…

Rassurer

Un dispositif rassurant peut être envisagé, par exemple; lors de la première rencontre avec Nadgee, Queeny portait un t-shirt, ça la rassure; par la suite, ce n’était plus nécessaire mais nous avons préféré mettre toutes les choses de son côté.

Proposez une activité à vos compagnons, par exemple, une promenade dans un nouvel endroit est une belle occasion de se fabriquer les premiers souvenirs ensemble.

Évitez les sources de conflits lors du premier contact, tels que les jouets, les friandises, laissez-les s’apprivoiser et attendez le bon moment, aussi, procédez en étant équitable, si l’un reçoit quelque chose, il faut partager afin qu’ils soient à égalité … Aussi, saluez l’autre poilu et l’humain, sans en faire trop, mais c’est important pour signifier à votre boule de poils qu’il s’agit de nouvelles connaissances et pas de simples passants.

Avant la rencontre, vous pouvez prononcer plusieurs fois le nom du copain et en parler à votre boule de poils, pour qu’il intègre déjà ces nouvelles informations. Le congénère pour le chien est uniquement basé sur mon vécu de Dogmom. Il ne s’agit pas d’un contenu éducatif car ce n’est pas mon métier. En revanche, le congénère pour le chien est à mon sens, une introspection nécessaire à tous !

Et vous, vos poilus ont-ils des amis ??

Queeny & Julie

Julie a fondé MDIAQ en 2016. Amoureuse des chiens depuis sa plus tendre enfance, elle a souhaité partager sa passion en l’alliant à son domaine de prédilection, à savoir l’écriture. Qui est Julie ? Passionnée de littérature et photographie. Historienne de formation, curieuse de nature et animée par l’envie d’enrichir constamment ses connaissances. MDIAQ était donc une évidence. Toujours en duo, elle partage sa vie avec une adorable croisée Border Collie prénommée Queeny depuis bientôt 10 ans. Retrouvez nos articles ICI

“Queeny est bien plus que mon chien… Elle est mon amie, ma confidente, mon acolyte, ma binôme et ma plus belle histoire” Dogmom qui s’assume, qui aime partager autour de sa passion, j’ai fondé MDIAQ pour que vous vous y sentiez comme chez vous ! Sans tabous, nous partageons notre quotidien, nos découvertes et nos bons plans. Nos rubriques “phares” sont … DogmomLife, MHIAW, Bouquine, Guide, etc…


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